-
Projet cabanes - Sources d'inspiration
Présentation du lieu • Intégration et visibilité • Projet d’accueil en habitat insolite
Points communs des constructions • Sources d’inspiration • Berylla - Thalie - l'atelier
Répartition spatiale • Chronologie des travaux et financements • Le porteur du projet
———————————————————————————————————————————————————Charpentes réciproques (autoportées)
Le principe repose sur le fait que chaque poutre s’appuie sur la précédente et soutient la suivante, ce qui permet de maintenir la structure sans poteau central, ménageant ainsi un grand espace libre. Une telle structure est économique et demande l’utilisation de matériaux locaux. Sa grande solidité permet aisément de recouvrir la toiture de terre garantissant une bonne isolation, été comme hiver, et une intégration parfaite dans le paysage.
Shou sugi ban (ou Yakisugi)
Planches de bois brûlées suivant une ancestrale technique japonaise.
Le fait de brûler la surface du bois rend ce dernier résistant aux UV, aux insectes, aux bactéries et aux champignons. Et ce, sans utiliser aucun produit chimique nocif (insecticide, vernis, peinture) pour la nature et les humains. Cette technique économique et écologique permet également de resserrer les fibres du bois et augmente sa résistance au feu. Une couche d’huile de lin parfait la finition.
Les planches ont un rendu très naturel qui va du noir au gris chaud ou neutre en fonction de l’intensité du brossage.
C’est une technique avantageusement utilisée aussi pour les pieux, les barrières, les pontons, pergolas, escaliers extérieurs ainsi que pour les éléments décoratifs en design d’intérieur.
Tiny house
Ce projet s’inscrit dans le mouvement et la philosophie « Tiny house » (micro-maisons), mais en version fixe et locative.
Source Wikipédia
Le mouvement des micromaisons (parfois orthographié micro-maisons), souvent désigné par son nom en anglais tiny house movement, est le nom donné à un mouvement social et architectural prônant la simplicité volontaire par l’habitation de petites maisons. […] Le small house movement est né de la volonté de contrer ce mouvement [maisons de plus en plus grandes aux USA] et de réduire la taille des maisons à moins de 1 000 pieds carrés (93 m2). Bien que l’idée ait été évoquée par des précurseurs tels Lloyd Kahn et Lester R. Walker, on attribue le lancement du mouvement à Sarah Susanka, qui a coécrit The Not So Big House (1998).
Source lefigaro.fr
Véritable phénomène aux États-Unis, les « tiny houses » connaissent un succès croissant en France. […] « Vivre dans un petit habitat, ce n’est pas simplement avoir une micromaison, […] c’est également faire ce qui vous rend heureux, poursuivre vos objectifs, vos rêves », assure Ryan Mitchell, créateur du site américain thetinylife.com. (littéralement la mini-vie). […]
Une origine disputée — Outre-Atlantique, ce mouvement est né grâce à Jay Shafer, Gregory Paul Johnson, Shay Salomon et Nigel Valdez, fondateurs de la « Small house society », qui a pour but de « supporter toutes les recherches, les développements et les utilisations de plus petits espaces de vie », précise le site. Devenus des militants sociaux, ces anciens professionnels de l’urbanisme et de la conception de maison se sont lancés dans cette aventure en 2002. Les ravages provoqués par l’ouragan Katrina, en 2005, et la crise économique de 2008 ont largement contribué à rendre célèbre les « tiny houses » car elles offraient à ce moment un habitat à moindre coût et rapidement disponible.
Cependant, certains pourraient considérer que la première micromaison est née en 1952 à Roquebrune-Cap-Martin, dans le département des Alpes-Maritimes, des mains du célèbre architecte et urbaniste, Le Corbusier, et de son collaborateur, Fernand Gardien. Ensemble, ils ont construit un cabanon avec l’objectif d’y installer tout le nécessaire pour vivre dans un minimum d’espace. Toutefois, à la différence de la plupart des « tiny houses » américaines, cette maison est fixe.Source Gampingblog
Le mouvement TinyHouse prend de l’ampleur en France, mais au fait, c’est quoi une Tiny House ?!
Simplicité et liberté — Elles sont petites, mini, choupi et cosy (voire insolites) et certains ont fait de leur tiny house une vraie œuvre d’art ! Mais vivre dans ces petites maisons engendre forcément un style de vie parfois bien différent de celui auquel nous pouvons être habitués. Les adeptes parlent notamment de simplicité volontaire, une tendance à contre-courant du consumérisme basée sur le « vivre simplement pour gagner en liberté ». Il s’agit notamment de se débarrasser de tout le superflu. En effet, vivre dans 15 m2 c’est garder seulement ce dont on a besoin. Acheteurs compulsifs s’abstenir !Aussi, idéalement construites avec des matériaux locaux et des technologies vertes, les tiny houses s’inscrivent dans une dynamique écolo-friendly. L’objectif étant de diminuer toujours plus son impact sur la nature et la vie sur terre. De ce fait, les tiny sont équipées de toilettes sèches, de système de récupération de l’eau de pluie ou encore de panneaux solaires. […]
Aménagements intérieurs
Pour les aménagements intérieurs, les produits naturels seront privilégiés (bois, fibres, argile).
Voici quelques images (principalement trouvées sur Internet) de réalisations qui m’inspirent. C’est juste un point de départ car chaque gîte devra s’intégrer avec le lieu qui l’accueillera et le thème abordé. J’ai aussi mes propres idées et réalise déjà des objets artistiques pour l'aménagement des maisons (premières photos).———————————————————————————————————————————————————
Présentation du lieu • Intégration et visibilité • Projet d’accueil en habitat insolite
Points communs des constructions • Sources d’inspiration • Berylla - Thalie - l'atelier
Répartition spatiale • Chronologie des travaux et financements • Le porteur du projet
———————————————————————————————————————————————————